Flottes vertes : virage en vue

Un projet de loi prévoit de lourdes sanctions en cas de non-respect de quotas des véhicules électriques. 

« Fini la carotte, bonjour le bâton » : c’est ainsi que Les Echos résument la proposition de loi sur l’électrification des flottes automobiles portée par le député de la majorité Damien Adam qui sera examiné le 30 avril prochain à l’Assemblée.

Les sociétés détenant une flotte de plus de 100 véhicules pourraient bientôt devoir respecter des quotas plus stricts d’électrification de leur parc au risque, sinon, d’être fortement sanctionnées. Sont concernées les entreprises mais aussi les loueurs qui se sont étranglés en lisant le projet. 

Que dit ce dernier ? Il propose un seuil obligatoire de 20% de véhicules électriques dès le 1er janvier 2024 (soit 10 points de plus que prévus par la loi LOM), 30% en 2025, 50% en 2027 et jusqu’à 95% en 2032. 

Les sanctions en cas de non-respect ? Des amendes pouvant aller jusqu’à 5000 euros par véhicule manquant et plafonnées à 1% du chiffre d’affaires de l’entreprise ! Point de détail qui n’en est pas un : les véhicules hybrides rechargeables seraient exclus du périmètre. Seules compteraient les voitures 100% électriques. 

Rappelons par ailleurs qu’en début d’année, le gouvernement avait déjà supprimé pour les entreprises le bonus écologique pour l’achat d’un véhicule électrique qui pouvait s’élever jusqu’à 3 000 euros en 2023.

Pourquoi ce virage ? L’actuelle loi d’orientation des mobilités, dite loi LOM, n’étant pas contraignante, 60% des entreprises ne respectent pas les quotas fixés par cette loi selon les chiffres de l’ONG Transport & Environnement (T&E). 

Parmi les grands groupes pointés du doigt selon La Tribune : Carrefour, Air Liquide, ou la SNCF qui comptent seulement « 1% de voitures électriques dans leur flotte. » Sans être exemplaires, « les petites entreprises jouent davantage le jeu. » 

Côté loueurs, les véhicules électriques ne représentent aujourd’hui que 6% de leur parc. Mais « la demande n’est pas à la hauteur des attentes » insiste Jean-Philippe Doyen, le patron de Sixt en France, dans des propos rapportés par Les Echos. Selon le quotidien économique, « les loueurs estiment que cet objectif de quasi 100% d’électrification de leurs achats à horizon 2032 n’est pas réaliste. »

Jusqu’au 30 avril, les discussions se poursuivent entre les professionnels et les députés. Il faudra être sacrément convaincant pour infléchir leur position alors que le texte de loi devrait bénéficier du soutien du gouvernement.

François-Xavier Izenic, rédacteur associé de l’AFTM

Location de voitures : « la tempête parfaite »

Pénurie de l’offre et flambée des prix : la location de voitures est entrée dans une ère de turbulences inédite et complexe à gérer pour les travel managers. Comment faire ?

Perfect Storm. Cette métaphore paradoxale (comment une tempête, par nature destructrice, peut-elle être qualifiée de « parfaite » ?) désigne, dans le langage courant américain, une aberration, où toutes sortes d’éléments disparates et improbables s’associent pour produire un bouleversement jamais vu auparavant. C’est ainsi que Business Travel News qualifie le marché de la location de voitures, reprenant l’expression d’un travel manager. La tempête en question est générée par une forte demande qui se heurte à une contrition chronique de l’offre de véhicules. 

Dans un article du 21 décembre, le quotidien économique Les Echos confirme que le secteur a bouclé «2021 avec le sourire». Jean-Philippe Doyen, le patron de Sixt, ne cachait pas sa satisfaction : « Nous avons battu notre record de résultat opérationnel au troisième trimestre et ce sera sans doute le cas sur l’ensemble de 2021 ». 

Le marché loisirs, devenu très domestique par la force des choses, a soutenu la demande mais pas seulement. BTN cite une entreprise néerlandaise dont la travel manager affirme que, si le volume des réservations aériennes a plongé pendant la pandémie, celui de la location de voitures est resté stable. 

Le gros hic : les loueurs n’arrivent pas à acheter autant de véhicules qu’ils le souhaiteraient. Confrontés à des problèmes d’approvisionnement, « les constructeurs automobiles privilégient la clientèle individuelle, la plus rentable, au détriment des loueurs qui achètent en masse (et donc avec un rabais) des modèles dotés de peu d’options ». 

Résultat : les tarifs flambent. Comme l’écrit BTN, « après des décennies de changements minimes et de tarifs déprimés par une concurrence féroce, la situation a radicalement changé ». Pour les entreprises et les acheteurs, la pression est forte. Sabah Kahoul, consultante et vice-présidente de l’Association Suisse du Travel Management (ASTM), affirme dans BTN que « les fournisseurs poussent à des augmentations tarifaires à deux chiffres ». Même en négociant habilement, elle prévient que les acheteurs risquent de finir par payer au moins 5% de plus. 

Un problème qui ne se limite pas aux nouveaux accords. Sabah Kahoul révèle ainsi que les loueurs font pression pour renégocier les taux contractuels existants. Sans compter les problèmes critiques de disponibilité : impossibilité pour les voyageurs de réserver une voiture ou, plus grave, annulation de réservations existantes, parfois la veille de la location. 

Alors que faire ? Quelques conseils de BTN pour sécuriser tant que faire se peut le budget location de voitures :

  • Assurer la disponibilité. Obtenir des engagements en béton des loueurs sur la mise à disposition des véhicules. Une priorité peut-être plus importante que le prix.
  • Envisager des contrats à long terme. Trois ans et même cinq ans pour Sabah Kahoul. 
  • Signer plusieurs partenaires privilégiés. Une bonne stratégie pour atténuer le risque de pénurie selon Sabah Kahoul. 
  • Utiliser plus efficacement les véhicules. Grâce aux datas des reporting, la réévaluation des habitudes des voyageurs peut montrer qu’une location plus courte fera l’affaire.
  • Regarder au-delà du tarif de base. Attention, les frais annexes peuvent être très coûteux : plein de carburant, kilométrage, livraison, aéroport…

Des astuces qui pourront permettre de mieux affronter une tempête qui ne semble pas prête de s’arrêter de souffler. 

François-Xavier Izenic, rédacteur associé de l’AFTM

Location de voitures : « la tempête parfaite »

Pénurie de l’offre et flambée des prix : la location de voitures est entrée dans une ère de turbulences inédite et complexe à gérer pour les travel managers. Comment faire ?

Perfect Storm. Cette métaphore paradoxale (comment une tempête, par nature destructrice, peut-elle être qualifiée de « parfaite » ?) désigne, dans le langage courant américain, une aberration, où toutes sortes d’éléments disparates et improbables s’associent pour produire un bouleversement jamais vu auparavant. C’est ainsi que Business Travel News qualifie le marché de la location de voitures, reprenant l’expression d’un travel manager. La tempête en question est générée par une forte demande qui se heurte à une contrition chronique de l’offre de véhicules. 

Dans un article du 21 décembre, le quotidien économique Les Echos confirme que le secteur a bouclé «2021 avec le sourire». Jean-Philippe Doyen, le patron de Sixt, ne cachait pas sa satisfaction : « Nous avons battu notre record de résultat opérationnel au troisième trimestre et ce sera sans doute le cas sur l’ensemble de 2021 ». 

Le marché loisirs, devenu très domestique par la force des choses, a soutenu la demande mais pas seulement. BTN cite une entreprise néerlandaise dont la travel manager affirme que, si le volume des réservations aériennes a plongé pendant la pandémie, celui de la location de voitures est resté stable. 

Le gros hic : les loueurs n’arrivent pas à acheter autant de véhicules qu’ils le souhaiteraient. Confrontés à des problèmes d’approvisionnement, « les constructeurs automobiles privilégient la clientèle individuelle, la plus rentable, au détriment des loueurs qui achètent en masse (et donc avec un rabais) des modèles dotés de peu d’options ». 

Résultat : les tarifs flambent. Comme l’écrit BTN, « après des décennies de changements minimes et de tarifs déprimés par une concurrence féroce, la situation a radicalement changé ». Pour les entreprises et les acheteurs, la pression est forte. Sabah Kahoul, consultante et vice-présidente de l’Association Suisse du Travel Management (ASTM), affirme dans BTN que « les fournisseurs poussent à des augmentations tarifaires à deux chiffres ». Même en négociant habilement, elle prévient que les acheteurs risquent de finir par payer au moins 5% de plus. 

Un problème qui ne se limite pas aux nouveaux accords. Sabah Kahoul révèle ainsi que les loueurs font pression pour renégocier les taux contractuels existants. Sans compter les problèmes critiques de disponibilité : impossibilité pour les voyageurs de réserver une voiture ou, plus grave, annulation de réservations existantes, parfois la veille de la location. 

Alors que faire ? Quelques conseils de BTN pour sécuriser tant que faire se peut le budget location de voitures :

  • Assurer la disponibilité. Obtenir des engagements en béton des loueurs sur la mise à disposition des véhicules. Une priorité peut-être plus importante que le prix.
  • Envisager des contrats à long terme. Trois ans et même cinq ans pour Sabah Kahoul. 
  • Signer plusieurs partenaires privilégiés. Une bonne stratégie pour atténuer le risque de pénurie selon Sabah Kahoul. 
  • Utiliser plus efficacement les véhicules. Grâce aux datas des reporting, la réévaluation des habitudes des voyageurs peut montrer qu’une location plus courte fera l’affaire.
  • Regarder au-delà du tarif de base. Attention, les frais annexes peuvent être très coûteux : plein de carburant, kilométrage, livraison, aéroport…

Des astuces qui pourront permettre de mieux affronter une tempête qui ne semble pas prête de s’arrêter de souffler. 

François-Xavier Izenic, rédacteur associé de l’AFTM

Les loueurs de voiture en colère

Les loueurs de voitures en colère

Ils ne comprennent pas pourquoi les pouvoirs publics ne les soutiennent pas davantage alors que l’activité peine à reprendre.
Comme le raconte Les Echos, « le déconfinement n’a pas ramené les clients dans les agences, avec un recul attendu de 50 à 60 % en juillet ». Sur le site internet de BFM, Agnès Parmentier, représentante des loueurs indépendants au CNPA (Comité national des professionnels de l’automobile) se montre préoccupée : « les changements de pratiques, avec par exemple un usage plus prononcé du vélo en ville ou une généralisation des réunions en visio plutôt que des séminaires, sont des sources d’inquiétudes ».
Des pertes importantes pendant le confinement (deux euros de pertes nettes pour chaque euro de chiffre d’affaires), des flottes qui ont baissé de 30 à 60%, des aéroports qui refusent d’adapter les charges des loueurs au niveau d’activité : dans ce contexte, les loueurs ne comprennent pas pourquoi ils ont été exclus de la liste S1 des secteurs bénéficiant à plein du plan d’aide au tourisme initié par l’Etat. Une exclusion lourde de conséquences : les loueurs n’auraient pas droit à une exonération de charges sociales sans conditions jusqu’en septembre et ne pourraient plus bénéficier d’une prise ne charge de 100% de l’activité partielle de leurs salariés. « Totalement injuste » pour Jean-Philippe Doyen, le patron de Sixt France.

Webinaire mobilités urbaines : les 5 points à retenir !

Les webinaires de l’AFTM continuent de séduire et font le plein ! Le 10 juin dernier, la 4e édition a porté sur les mobilités urbaines. Quatre intervenants ont répondu aux questions de l’animateur François-Xavier Izenic et des internautes : Sandra Lévy, acheteur chef de groupe chez METRO, Arnaud de Lamezan, directeur des achats et de l’immobilier chez Lagardère, Jean-Philippe Doyen, président de Sixt France et Benjamin Giovanni, head of account management chez Kapten.

1. Quelle activité aujourd’hui ?

Pendant le confinement les loueurs de voitures ont subi une baisse d’activité de 95% avec des coûts de flotte qui ont continué de courir. Aujourd’hui, le recul d’activité se situe entre moins 65 et moins 70% par rapport à la même période l’année dernière. Jean-Philippe Doyen a précisé que les loueurs ont dû réduire drastiquement leur flotte afin d’adapter leurs coûts et affecter leurs voitures dans les centres villes car c’est là qu’est la demande.

Du côté des VTC, la baisse d’activité est de moins 50% par rapport à la même période l’année dernière. Benjamin Giovanni a cité une enquête interne réalisée auprès de 1600 clients dont 86% pensent que leur usage des VTC sera dans les mois qui viennent identique voire supérieur à ce qu’il était auparavant car « c’est une alternative plus sécurisée que les transports en commun ».

2. Quelles mesures sanitaires ?

Pour Sixt : mesures de distanciation sociale dans les agences, marquage au sol, collaborateurs équipés de masques et de gel, parois transparentes, digitalisation intégrale du process, désinfection systématique des clés, renforcement des mesures de nettoyage des véhicules…

Pour Kapten : port du masque obligatoire pour le chauffeur et les passagers, vitre de protection entre le chauffeur et le passager (80% de la flotte en est équipée et 100% d’ici à quelques semaines), nettoyage du véhicule après chaque passage…

3. Des entreprises rassurées ?

Pour Sandra Lévy, « on est obligé de faire confiance aux prestataires. L’important est de mettre ne place des actions de communication pour faire connaître ces mesures et montrer que l’entreprise s’engage dans la protection des collaborateurs ». Et d’ajouter que désormais, l’hygiène et les protocoles sanitaires vont devenir des points clés des appels d’offres.

Arnaud de Lamezan a quant à lui le sentiment que les différents acteurs des déplacements professionnels ont globalement bien pris la mesure du défi sanitaire. Il fait toutefois la différence entre les acteurs connus qui ont communiqué sur leurs mesures d’hygiène et les autres. Pour lui, les travel managers et les acheteurs se dirigeront naturellement vers les premiers. Et d’affirmer que la limitation des déplacements dans les mois à venir sera le fait de contraintes managériales et économiques et non de la crainte des collaborateurs à voyager.

4. A quels prix ?

Pour la location de voitures, Jean-Philippe Doyen anticipe une correction des prix à la hausse car  “les loueurs vont donc devoir amortir leurs coûts fixes sur un nombre moindre de déplacements”.

Il plaide toutefois pour un travail en commun avec les TM et les acheteurs : « il faut réfléchir à rendre le déplacement plus intelligent au niveau économique, tenir compte de l’intégralité du coût sur la journée et s’interroger sur le bon mode déplacement adapté au besoin du moment ».

Et de citer en exemple : « à quoi cela sert de se battre pour un ou deux euros quand on sait qu’on va faire des économies sur le coût du carburant ou du stationnement si on loue un véhicule électrique ou hybride ? »

Arnaud de Lamezan le rejoint et implore ses homologues acheteurs et travel managers : « ne tirez pas sur l’ambulance, vous risquerez de le payer très cher demain ! » Il pointe « les profiteurs qui à court terme vont pousser leurs fournisseurs à la faute, à la réduction des coûts, tuant ainsi un certain nombre d’acteurs, provoquant la concentration de certaines activités, et donc favorisant la hausse des prix et peut-être plus haut que si on avait laissé vivre ceux qui créent la concurrence ». Il ajoute que « la grandeur des TM et des acheteurs sera leur capacité d’expliquer à leur hiérarchie la situation et l’intérêt bien compris des parties ». Et de conclure : on met en avant la RSE, on est en train de définir la raison d’être des entreprises, de parler de respect des parties prenantes, il va donc falloir qu’on soit cohérent avec les discours ».

Si Sandra Lévy acquiesce, elle nuance toutefois : « beaucoup d’entreprises sortent rincées par la crise et on va avoir besoin de manager au mieux nos coûts. » Pour elle, la solution est dans l’alternative : « on a désormais plus intérêt à multiplier les solutions de mobilité, à mixer toutes ces formes de mobilité plutôt que d’avoir une solution unique, et d’analyser tous ces coûts. Quand je regarde mes coûts de mobilité, je vois plusieurs millions d’euros mobilisés par la flotte de véhicule. Pourquoi ne pas repenser l’utilité d’un véhicule de fonction quand on sait que certains collaborateurs laissent ce véhicule dormir 90% du temps sur un parking ? »

De son côté, Benjamin Giovanni n’anticipe pas d’augmentation des prix des VTC « car on a beaucoup de chauffeurs connectés par rapport à la demande ».

5. Un tournant pour les mobilités urbaines ?

Pour Sandra Lévy, la crise sanitaire doit être un catalyseur du changement. Elle compte bien profiter de la récente loi LOM (Orientation des Mobilités) et du nouveau forfait mobilités : « on veut repenser le déplacement en alliant RSE et partage, RSE et innovation avec un patchwork de solutions que nos collaborateurs pourraient choisir. C’est aussi important pour attirer de nouveaux collaborateurs et pour les fidéliser. Sous quelle forme ? Je ne sais pas encore mais on est en train de se pencher par exemple sur le vélo de fonction ou la trottinette de fonction ».

Arnaud de Lamezan insiste lui de son côté sur l’hybridation des véhicules de fonction. Il explique « travailler avec les RH pour que les collaborateurs qui peuvent recharger les véhicules de fonction hybrides chez eux puissent bénéficier d’une indemnité forfaitaire mensuelle, de cette manière les trajets pendulaires pourraient se faire totalement électriquement ».

Pour Benjamin Giovanni, « on parle de plateforme MaaS (mobility as a service) depuis plusieurs années mais la crise accélère le besoin. Les priorités ont changé avec le duty of care. Plus que jamais l’intermodalité va répondre aux besoins des collaborateurs. Ils veulent se sentir libres du moyen de transport qu’ils vont utiliser selon l’heure, la météo, l’impact environnemental et bien d’autres paramètres. On va donc imbriquer toutes nos applications de mobilités en une seule mobilité et la mettre bientôt à disposition du marché français ».

Jean-Philippe Doyen confirme également ce « fort besoin d’innovation, chez les prestataires comme chez les TM et les acheteurs. » Et d’ajouter : “on va en effet vers plus d’intermodalité mais pas seulement, une mobilité différenciée selon l’usage. Je crois qu’on va trouver des solutions plus intelligentes d’un point de vue RSE, durable et économique, en utilisant le bon mode de déplacement au bon moment ».

François-Xavier Izenic, rédacteur associé de l’AFTM

Les voyageurs français et internationaux n’ont pas fini d’entendre parler de Sixt !

Depuis mars 2018, le loueur de véhicules tendance et premium a déployé une gigantesque campagne d’affichage dans les dix plus grands aéroports de province : Nice, Lyon, Toulouse, Marseille, Bordeaux, Montpellier, Lille, Toulon, Strasbourg et Biarritz.

Dans ces villes, les passerelles intérieures et extérieures d’accès aux avions ont été habillées aux couleurs sur-vitaminées de Sixt avec des slogans plus qu’accrocheurs, qui mettent en avant les services premium de la marque ainsi que sa flotte de véhicules haut de gamme et suréquipée, à tarifs accessibles.

Mais la vague orange ne s’arrête pas là ! Un dispositif impressionnant a été installé cet été dans les aéroports de Marseille, Lille et Nice, mettant en scène la nouvelle Mercedes Classe A.

  • À Lille, le véhicule mis en place en face de la zone loueurs a été transformé en sac de voyage haut de gamme. Totalement recouvert de cuir et accessoirisé d’une fermeture éclair, de coutures et d’une étiquette de marque, le slogan « Voyagez avec classe. Avec Sixt, l’affaire est dans le sac. » prend tout son sens.
  • À Marseille, l’accroche « Louez un petit bijou à prix malin. » est illustrée par une Mercedes Classe A présentée sous forme de bague sur un anneau en or blanc, comme un rubis.
  • Enfin, les voyageurs s’enregistrant dans le Terminal 2 de Nice pourront découvrir le slogan « Louez une belle voiture dès votre atterrissage. », illustré cette fois par une impressionnante Mercedes Classe A flottant dans les airs, attachée à un parachute à 18 mètres de haut.

Spectaculaire, grandiose, extraordinaire ? Sixt sait comment se faire remarquer !