FREE NOW s’engage à devenir Net Zéro Carbone d’ici 2030 ?

En 2021, le respect de l’environnement n’est plus un enjeu, c’est une nécessité. Pour FREE NOW, acteur majeur de la mobilité, il semblait évident d’être un moteur dans une mobilité plus durable et d’opérer ce changement avec des actions concrètes.

FREE NOW devient la première plateforme de mobilité européenne à s’engager à devenir Net Zéro Carbone à horizon 2030 avec une flotte zéro émission.

Qu’est-ce que cela signifie concrètement ? 

En 2030, l’application FREE NOW travaillera avec une flotte à un niveau zéro d’émission nette de carbone sur tous ses marchés européens. 

Dès aujourd’hui, l’entreprise travaille activement à la réalisation de cet objectif de 2030 :

  • Une compensation à l’échelle européenne des émissions résiduelles, notamment à travers la plantation de 20 000 arbres en Europe chaque année;
  • Un objectif intermédiaire de 50% des courses en véhicules 100% électriques d’ici 2025;
  • Une allocation de 100 millions d’euros de ressources afin de promouvoir et d’accompagner les chauffeurs partenaires dans la transition vers des modes de transport plus verts;
  • Un rapprochement stratégique avec ChargeNOW, une entité du même groupe que FREE NOW, proposant le plus grand réseau de bornes de rechargement électriques;
  • La création avec WeNow de formations à l’éco-conduite à destination des chauffeurs partenaires de la plateforme.
  • Des initiatives locales impactantes : à Paris FREE NOW possède la plus grosse flotte de véhicules partenaires électriques et facilite l’accès aux bornes de recharge des voitures électriques en partenariat avec la RATP et bientôt Shell. 

Et pour FREE NOW for Business, la solution VTC sur-mesure dédiée aux entreprises et à leurs collaborateurs ? 

  • La possibilité pour les entreprises clientes de s’engager dans la réduction de leur propre empreinte carbone et d’appuyer une vraie démarche RSE;
  • Multiplier la commande de véhicules électriques par les collaborateurs et de s’aligner avec leur vision de la mobilité; 
  • Travailler avec un partenaire qui partage la même ambition et la même éthique;
  • Disposer d’un accompagnement personnalisé sur les enjeux RSE de votre entreprise.

Pour en savoir plus, rendez-vous  juste ici.

 

Transport aérien : coupable ou bouc émissaire ?

Transport aérien : coupable ou bouc émissaire ?
Au Paris Air Forum, événement majeur organisé par le journal La Tribune, la réduction de l’empreinte carbone du transport aérien était au centre des débats.
Injuste : tel est le sentiment partagé par les nombreux acteurs du secteur invités par La Tribune à l’évocation des critiques qui se font de plus en plus fortes à leur égard. Mais, dit le journal (Lire ici), « l’industrie aéronautique joue son avenir sur la transition énergétique. »
Biocarburants, hydrogène vert, réduction de consommation de fuel, compensation… : toutes les solutions ont été débattues pendant ces 4 jours de conférences et tables rondes. L’objectif : diviser par deux les émissions de carbone du transport aérien en 2050 par référence à 2005.
Mais tout cela va coûter cher, extrêmement cher et les économies de carburants ne suffiront pas à compenser. Ben Smith, le patron d’Air France, a repoussé l’idée qu’un prix plancher soit imposé sur les billets afin de limiter les activités des compagnies low cost. Il semble néanmoins inéluctable que les passagers devront payer une partie de la note.
Le débat entre Karima Delli, député européenne écologiste et l’aéronaute suisse Bertrand Piccard, a donné lieu à quelques passes d’armes intéressantes malgré l’avion-bashing trop caricatural de la première. Les deux intervenants se sont néanmoins accordés sur une nécessaire mise en place de normes plus contraignantes. Pour Bertrand Piccard, « la réglementation est trop laxiste, chaque passager doit compenser sa pollution. »
En revanche, les positions se sont éloignées quand il s’est agi pour Karima Delli de pointer le côté élitiste du transport aérien : « 40 % des Français n’ont jamais pris l’avion, seuls 15 % sont des voyageurs réguliers. »
Des chiffres qui font écho à un article paru le 17 novembre dans le Guardian (Lire ici). Relayant une étude menée par un chercheur suédois, le célèbre journal britannique affirme « qu’1% de la population mondiale a causé la moitié des émissions carbone du transport aérien en 2018. Ces « super-émetteurs » parcourent environ 56 000 km par an, ce qui équivaut à trois vols long-courriers par an, un vol court-courrier par mois ou une combinaison des deux. » De la critique du transport aérien à celle du voyage d’affaires, il n’y a qu’un pas… qui sera, n’en doutons pas, rapidement franchi.
François-Xavier Izenic, rédacteur associé de l’AFTM