Apartool étend ses activités au Moyen-Orient

Apartool étend ses activités d'hébergement d'entreprise au Moyen-Orient avec de nouveaux bureaux à Dubaï

Dubaï est devenue l’une des destinations les plus attrayantes au monde pour les voyages d’affaires. Les données le prouvent. Dubaï a accueilli un total de 14,36 millions de visiteurs internationaux en 2022, soit une croissance de 97 % en glissement annuel par rapport aux 7,28 millions d’arrivées de touristes enregistrées en 2021, selon les dernières données publiées par le Département de l’économie et du tourisme de Dubaï (DET).

Apartool, une plateforme d’appartements avec services, s’est imposée comme une plateforme leader en Europe pour la gestion de logements temporaires pour entreprises, déjà présente dans plus de 85 pays. Avec sa récente expansion au Moyen-Orient, et notamment l’ouverture de son nouveau bureau à Dubaï, la société s’efforce de devenir la première plateforme de gestion d’appartements d’entreprise au Moyen-Orient.

 En outre, elle annonce avoir établi un partenariat solide avec un fournisseur de Riyadh qui dispose de 240 appartements. Ce partenariat stratégique leur permet de répondre à la forte demande de leurs clients aux Émirats arabes unis.

Aujourd’hui, nous partageons avec vous un entretien exclusif avec Lara Mengatti, Country Manager UAE chez Apartool, à propos de son expérience dans l’expansion, avec les opportunités présentées par le marché de l’hébergement temporaire des entreprises aux EAU, et les défis auxquels l’entreprise est confrontée dans sa croissance et sa consolidation au Moyen-Orient.

Adagio Paris Suresnes Longchamp : le nouvel aparthotel aux portes de Paris

Ouvert en juillet 2021, l’Aparthotel Adagio Paris Suresnes Longchamp offre aux voyageurs un emplacement de choix ! Ce nouvel aparthotel réunit confort, services, et centralité pour un séjour en toute liberté. 

Un nouvel aparthotel 4 étoiles idéalement situé

Les voyageurs de passage dans l’ouest parisien peuvent désormais découvrir la nouvelle adresse Adagio ouverte à Suresnes. Bien desservi et installé à proximité du quartier d’affaires de La Défense, de l’hippodrome de Longchamp, des bords de Seine, du Parc de Bagatelle, de Boulogne, Saint Cloud et Sèvres, l’Aparthotel Adagio Paris Suresnes Longchamp est idéal pour tout type de séjour, professionnel ou touristique.

Du studio au deux pièces, les 109 appartements offrent une expérience chaleureuse et fonctionnelle. 

La décoration intérieure, réalisée par le cabinet d’architecte GCG, s’inspire de la douceur de vivre et de l’élégance de l’ouest parisien. Elle mêle à la fois contrastes et juxtapositions de couleurs intemporelles. Pensé pour permettre aux voyageurs de séjourner en toute autonomie, chaque appartement dispose d’une cuisine équipée et d’un coin bureau. Les espaces communs rassemblent de nombreux services : une bibliothèque d’objets pour emprunter livres et autres objets de décoration ou de confort, comme des enceintes ou une trottinette, une épicerie, un espace lounge pour se retrouver entre amis, collègues, ou en famille, un parking, une laverie ou encore une salle de sport. 

L’ouverture de ce nouvel établissement s’inscrit dans les ambitieux plans d’expansion d’Adagio et vient étoffer la présence de la marque dans l’ouest parisien.

Adagio réinvente : Découvrez le nouveau concept design de ses appartements

ADAGIO, leader de l’appart’hôtellerie en Europe, a inauguré en fin d’année 2020 son nouveau concept d’appartement dans son établissement de Paris Bercy Village.

Dans la continuité des ambitions de développement et modernisation de la marque, ce nouveau modèle rompt avec l’aspect parfois austère de l’appart’hôtellerie traditionnelle pour offrir une expérience chaleureuse, bienveillante et fonctionnelle. Adagio se réinvente pour satisfaire et prendre davantage soin de ses clients !

 

 

Le nouveau concept Adagio a été pensé et conçu par l’architecte d’intérieur et designer Didier Versavel avec pour objectif de « Bien vivre dans un espace contraint ». Il s’appuie sur l’identité « urbaine » d’Adagio et sur 4 piliers Fluidité – Liberté – Fonctionnalité – Bienveillance pour offrir un lieu organisé et dégagé de toutes contraintes d’espace.

Décliné sur l’ensemble des catégories d’appartements Adagio, ce nouveau concept design joue avec l’espace et les effets de perspectives architecturales visuelles pour délimiter les pièces sans les cloisonner. Des jeux de couleurs et effets de lumière donnent du caractère à l’espace : des couleurs marquées pour la profondeur, adoucies par des couleurs douces et des matières authentiques et chaleureuses (bois, velours, marbres…) dans l’espace de vie et l’espace de nuit. Le choix des matières et des teintes apaise et donne le sentiment d’être enveloppé dans un cocoon.


 

Pour Didier Versavel et Adagio, la liberté et le bien-vivre passent avant tout par la fonctionnalité de l’espace. Pour cela, la multifonctionnalité a été omniprésente dans le travail de conception de ce nouveau concept. Du mobilier modulable, des rangements intelligents… le nouveau concept Adagio libère l’espace pour une liberté d’esprit. Fidèle à son ADN, Adagio propose ainsi un concept adapté et une nouvelle vision de l’appart’hôtellerie.

__________

À propos d’Aparthotel Adagio

Issue en 2007 de la joint-venture entre les groupes Accor et Pierre & Vacances Center Parcs, Aparthotel Adagio est leader sur le marché de l’appart‘hôtellerie en Europe. La marque propose dans ses établissements des appartements modernes et entièrement équipés, ainsi que des services en plus tels que le petit-déjeuner, le wifi ou encore le ménage à la carte. Ces hébergements s’adressent aussi bien aux familles en city break qu’aux voyageurs d’affaires en long séjour qui bénéficient de tarifs dégressifs dès 4 nuits. Aparthotel Adagio propose trois gammes de produits : les aparthotels Adagio, des résidences contemporaines au confort 4 étoiles ; les aparthotels Adagio access, le confort 3 étoiles au meilleur prix, et les aparthotels Adagio premium, les Aparthotels haut-de-gamme.

Djoca Travel et Rategreen, nouveaux partenaires du mois de l'AFTM

Présentation express – Rategreen

Dans la mutation considérable qui s’annonce vers la transition écologique, les entreprises ont besoin de référentiels pertinents pour mesurer la performance des modèles économiques en regard des dimensions sociales et environnementales.

Rategreen, société à mission qui reverse une partie de son résultat à une association,  a développé avec l’AFNOR la notation RSE (responsabilité sociale et environnementale) normative et standardisée des voyages et déplacements professionnels, ainsi qu’un dispositif d’incitation, de pilotage et de financement associé ; les maîtres mots du dispositif : anticipation, simplification, transparence, pilotage :

  • Une note est calculée pour chaque élément du voyage (aérien, train, location de voiture, hôtellerie) et affichée au moment de la recherche pour guider le choix du voyageur
  • Une fois la sélection effectuée, une note globale est calculée, ainsi qu’un profil de performance portant sur 4 dimensions : environnementale, économique, sociale et sociétale
  • Suivant les outils de réservation, une fonction « préconisation » peut intervenir, permettant de maximiser la note en fonction du prix, de la localisation, voir du mode de transport (consulter un exemple de réservation hôtel)
  • Les données sont recueillies et accessibles en temps réel au voyageur et à l’entreprise

L’entreprise qui utilise Rategreen va ainsi disposer de données standardisées disponibles à tout moment sur le comportement de ses voyageurs en terme de RSE, et pouvoir forger un tableau de bord qui renseigne sur l’impact de sa politique voyage mais aussi piloter celle-ci, y compris en amont en faisant de cette notation un critère plus ou moins contraignant du choix des voyageurs.

Rategreen permet donc à l’entreprise de choisir les voyages qui produisent le moins d’impact négatif possible ; mais comme en matière de RSE, le 10/10 n’existe pas, Rategreen propose de compenser le reliquat par le dispositif Greenbonus :

  • L’entreprise choisit librement la valeur du point par voyage
  • Les points sont répartis en fonction de la note du voyage entre les voyageurs et l’association Green Travel Action, qui aide bénévolement les acteurs du Tourisme à s’améliorer et à se certifier
  • Les voyageurs sont incités à voyager le plus responsable possible pour avoir le plus de points, et l’entreprise aussi car ainsi son reliquat à financer sera d’autant plus faible
  • Exemple : l’entreprise a fixé la valeur du point d’un voyage à 1 euro ; si le voyageur choisit un voyage avec une note de 8/10, il récupère 0,8 points et l’association 0,2 points ; s’il choisit un voyage à 6/10, il récupère 0,6 points et l’asso 0,4 points
  • Le dispositif est ainsi totalement vertueux, puisque les voyageurs devront utiliser leurs points dans une cagnotte composée de produits responsables (produits bio, produits d’épargne basés sur la finance durable…)

Présentation express – Djocatravel

Créée en 2016, Djoca est devenue très rapidement l’une des principales centrales hôtelières françaises (20M de CA), avec un inventaire de 1,7 millions d’hotels , connectée avec tous les SBT et agrégeant les principaux fournisseurs et OTA, la plupart des channel managers et 12 000 hotels en direct en France. Société à mission 100% française et indépendante, bientôt BCorp, nous avons été les premiers, sous l’égide de la DAE, à proposer des hébergements gratuits aux personnels prioritaires ; nous avons conservé à temps plein, et encore maintenant, l’ensemble de notre personnel sans recourir au chômage partiel, et même amélioré notre SLA. Notre conciergerie est une vraie agence de réservation (modifications bien sur, mais aussi résa d’hotels hors système) et vérifie systématiquement toutes les arrivées ainsi que les conditions sanitaires, bien que nous fassions remonter aux voyageurs les labels et informations fournies par les hôtels. Notre H24 est là pour régler les problèmes de checkin et de paiement. En France, notre offre simplifie les process en incluant dans le tarif le petit déjeuner et la taxe de séjour.

Djoca propose aux entreprises soit de se connecter traditionnellement via leur agence, soit pour celles qui utilisent un SBT, de nous connecter et payer « en direct » sur le modèle des low-cost, soit d’utiliser notre Hbt ; en direct, Djoca garantit d’être toujours moins cher que les grands OTA, et pour les clients qui le souhaitent, Djoca propose un nouveau modèle disruptif en mode Saas, totalement transparent, tous les tarifs en net, 0 commission, 0 cout caché.

Djoca, en partenariat avec Rategreen, peut conseiller les directeurs d’achats à co-construire un programme hôtelier basé sur la performance RSE et vont lancer ensemble prochainement le programme Greendeal :

  • Sur abonnement
  • 0 commission
  • Hotels bénéficiant d’une note minimale de 6/10
  • Garantie pour l’entreprise que le prix payé sera toujours inférieur ou égal au prix pratiqué par l’hôtel sur son propre site internet ou en direct
  • Engagement de l’hôtel d’utiliser une partie de la marge supplémentaire réalisée dans des investissements durables visant à améliorer sa notation

Enfin, mon agence historique, Sydney Travel, créée en 1998, adhérente Manor, spécialisée dans la logistique pour de grandes agences évènementielles (Dentsu, Hopscotch, GL..), 20M de volume en 2019 ; aujourd’hui, je l’ai transformée en société à mission et modifié son nom en Sydney Green Business Travel ; j’ai changé le modèle économique pour passer sur un abonnement transparent à destination principalement des TPE/PME, et beaucoup investi dans la technologie pour créer un sbt nativement « green » en partenariat avec Rategreen incluant la NDC, modèle Saas, 0 commission y compris dans l’hôtellerie grâce à Djoca, préconisation multimodale et rebook d’un clic…

Quelle est votre histoire avec le business travel ?

j’ai quitté l’audit pour créer mon agence de voyages d’affaires il y a 22 ans ; toujours intéressé par la technologie, j’ai beaucoup investi dans les connectivités front et back et j’ai lancé il y a 5 ans la centrale hôtelière Djoca qui a connu une forte croissance.

En parallèle, depuis que j’ai géré le Forum Mondial de l’Eau en 2015 et une partie de la COP21, j’ai été en contact avec les acteurs du Développement Durable et je sentais bien qu’un secteur emblématique comme le voyage d’affaires ne pouvait pas se tenir à l’écart de cette lame de fond, mais la méthode punitive de la compensation carbone, dans laquelle sont encore ceux qui s’intéressent au sujet, ne correspondait pas à ma vision de l’écologie par la réduction maximale des impacts et l’incitation.

C’est pourquoi j’ai lancé Rategreen avec l’Afnor comme une notation neutre et standardisée de l’utilité sociétale et environnementale des voyages dont le CO2 n’est qu’un élément parmi de nombreux autres, afin d’inciter les voyageurs à optimiser leur impact et de fournir aux entreprises un outil de pilotage de leur politique voyage en matière de RSE et un tableau de bord en temps réel ; et pour être cohérent et en s’appuyant sur la loi Pacte, j’ai transformé aussi Djoca en société à mission qui va reverser une partie de ses bénéfices aux salariés et parties prenantes, et proposer un nouveau modèle totalement transparent, 0 commission, 0 cout caché, qui s’inscrit parfaitement dans cette économie solidaire et circulaire car il va permettre aux acheteurs de faire des économies substantielles en ayant la certitude de ne pas payer plus cher qu’en direct à l’hôtel tout en permettant aux hôteliers de mieux se rémunérer avec une meilleure traçabilité des clients et donc une meilleure qualité de service.

Pourquoi un partenariat avec l’AFTM aujourd’hui ?

J’ai toujours travaillé jusque-là en sous-traitant des agences (et ce sera toujours le cas pour partie), donc je n’avais pas vocation à être en relation avec les acheteurs.

Aujourd’hui, Rategreen et l’orientation vers un modèle « green » changent la donne. Rategreen est un système qui fonctionne quel que soit l’outil, quel que soit le fournisseur, y compris les concurrents de Djoca. Les interlocuteurs sont donc les directeurs RSE ou les Travel Managers qui, s’ils souhaitent instaurer Rategreen nous mettent en contact avec leur agence pour que l’api soit intégrée dans les outils de réservation.

Il était donc évident pour moi de rejoindre l’AFTM qui regroupe l’ensemble de la communauté des acheteurs voyages, afin que la démarche soit connue du plus grand nombre. Quant à Djoca, la centrale était surtout connue du réseau Manor, et le nouveau modèle présenté, tant par l’aspect connexion/paiement direct que par la transparence, le 0 commission et la garantie tarifaire, devrait séduire les adhérents.

Quelle est votre vision de l’évolution du marché des déplacements professionnels dans les mois à venir ?

je pense que tout le monde à l’AFTM connait les difficultés du secteur et les perspectives globales peu réjouissantes, et je n’ai pas une meilleure boule de cristal que les autres. Il nous faut gérer une incertitude de plus, soit. Par contre, le Covid a formidablement accéléré la fracture autour du modèle économique et révélé la faiblesse financière de beaucoup d’acteurs.

Contrairement à d’autres, j’ai choisi de considérer cette crise comme une opportunité, de croire que le « monde de demain » sera différent et d’investir en conséquence. Avec l’utilité sociale et environnementale, la transparence est pour moi centrale, tout comme la simplification. Le prix reste clé, mais cette crise a révélé que la fiabilité et la qualité de service et d’accompagnement du partenaire le sont tout autant. La co-construction client/fournisseur, là est l’avenir. Soyons agiles, et agissons.

Eric ESTEGASSY

Président

citizenM, une nouvelle vision du "luxe accessible à tous" !

citizenM est une nouvelle génération d’hôtels offrant une nouvelle vision du « luxe accessible à tous ». « Tous », c’est à dire des voyageurs internationaux d’un nouveau genre, qui aiment le design contemporain raffiné, la tech, les hôtels idéalement situés en centre-ville et les oreillers moelleux – le tout à prix abordable.


Découvrez dès à présent une nouvelle solution qui change la vie des entreprises, travailleurs à distance et citizens d’affaires du monde entier.

Abonnement Corporate citizenM – une solution unique qui inclut tous ces avantages :
  • 3 nuits par mois – aucune restriction de date – dans tous les hôtels citizenM aux quatre coins du monde
  • 3 heures en salle de réunion incluses – à tout moment durant le mois de souscription
  • espace de travail dans nos salons compris quotidiennement – à tout moment durant le mois de souscription
  • verre de bienvenue offert – par séjour
  • petit-déjeuner inclus – par séjour
  • connexion Wi-Fi ultra-rapide

Le prix : un tarif fixe de 550 EUR par mois et par personne !
Vous préférez le long terme ? Abonnez-vous pour un an et obtenez un mois gratuit !

La solution idéale pour votre entreprise si :
  • vos employés travaillant à distance voyagent régulièrement dans de grandes villes et ont besoin d’une super formule travail/repos à prix fixe
  • vous n’avez plus besoin ou envie d’un espace de travail traditionnel ou d’un abonnement coworking coûteux
  • vos employés ont besoin d’un environnement professionnel pour rencontrer leurs clients – pas d’espace de réunion onéreux

citizenM est maintenant à New York, Londres, Paris, Amsterdam, Rotterdam, Glasgow, Copenhague, Zurich, Genève, Washington DC, Seattle, Boston, Taipei et Kuala Lumpur.

Une question ? E-mail citizenvirginie@citizenm.com

Accor lance le label de propreté et de prévention ALLSAFE

Accor lance le label de propreté et de prévention ALLSAFE


Un label intégrant les normes de nettoyage et les protocoles opérationnels les plus rigoureux du monde de l’hospitalité.
Accueillir, protéger et prendre soin des autres est au cœur même de ce que nous faisons et de qui nous sommes. La santé, la sécurité et le bien-être de notre personnel, de nos clients, nos propriétaires et nos partenaires restent notre priorité absolue alors que le monde traverse une crise sans précédent.
Depuis plus de 50 ans, Accor privilégie au quotidien la sécurité de ses hôtes notamment grâce à des normes d’hygiène et de propreté élevées appliquées dans toutes nos marques, partout dans le monde. En raison de la pandémie Covid-19 et pour assurer la sécurité de nos clients et collaborateurs à la réouverture de nos établissements, nous avons renforcé ces normes avec la création d’un label unique de propreté et de prévention : ALLSAFE.
A l’occasion du lancement de ALLSAFE et l’annonce du partenariat stratégique avec Axa s’inscrivant dans le cadre du plan de reprise du Groupe, Sébastien Bazin revient sur les grandes lignes de ces initiatives :

Les normes mondiales de propreté et de prévention ALLSAFE ont été élaborées et approuvées par Bureau Veritas, un leader mondial de l’inspection en matière d’hygiène et de propreté. Chaque hôtel du Groupe devra appliquer ces normes et sera audité soit par des experts opérationnels Accor, soit par des auditeurs tiers tels que Bureau Veritas pour recevoir ce label.
L’expertise opérationnelle du Groupe, notre empreinte géographique, et les enseignements tirés lors de précédentes épidémies de maladies infectieuses, nous permettent de disposer d’une solide expérience et d’une expertise qui nous permet de nous adapter aujourd’hui et pour demain aux nouvelles exigences des clients en matière d’hygiène.
Un défi historique pour le Groupe qui met toute son énergie à préparer la reprise afin que nos hôtes puissent continuer à profiter pleinement de leur expérience de voyage, en toute sécurité.

 

Webinar hôtellerie : les 8 points à retenir !

Le troisième webinar organisé par l’AFTM a établi un nouveau record en réunissant près de 280 participants ! Pendant près d’une heure et demie, quatre intervenants ont répondu aux questions de l’animateur François-Xavier Izenic et des internautes : Franck Gervais, directeur général Europe de Accor, Vincent Quandalle, directeur général Europe de l’Ouest de B&B Hôtels, Ziad Minkara, directeur général de CDS Groupe, et Stéphane Lormant, directeur des ventes France et Suisse de FCM Travel Solutions.

 

1.Une réouverture progressive

Pendant le confinement, 92% des hôtels en France ont dû fermer leurs portes, non par obligation légale mais faute de clients.

Sur les 1600 hôtels Accor en France, 36% sont ouverts à date. Les 2/3 cet été avec une montée en charge à 100% d’ici l’automne. Le 2 juin, les cafés, bars et restaurants (dont ceux des hôtels) des zones vertes devraient rouvrir leurs portes, suivis par ceux des zones rouges le 15 juin mais ces dates restent encore au conditionnel.

Pour les hôtels B&B, 220 établissements sont ouverts en France sur les 280 que compte le groupe en France (516 en Europe). Il y en aura 90% d’ouverts le 2 juin et 100% en septembre.

2. Quel protocole sanitaire ?

La réassurance des collaborateurs et de leurs entreprises est fondamentale pour la reprise du voyage d’affaires. Elle repose principalement sur des règles strictes d’hygiène et de sécurité sanitaire.

Sébastien Bazin, PDG d’Accor, a coordonné le protocole sanitaire qui sera appliqué par l’ensemble de l’hôtellerie française. Ce guide sanitaire officiel est en attente de validation par les ministères compétents.

De nombreux groupes hôteliers ont souhaité aller plus loin en mettant en place un label (Allsafe pour Accor en collaboration avec le Bureau Veritas) ou une certification (c’est le cas de B&B Hôtels avec la Socotec), les hôtels étant alors audités régulièrement pour contrôler la bonne application des règles.

Ces initiatives portent sur la distanciation sociale, le port généralisé du masque et des gants pour le personnel, le nettoyage plus fréquent des points de contact (ascenseur, poignées de porte…), check-in et check-out en ligne et bien d’autres choses encore.

Assez étonnamment, le port du masque n’est pas obligatoire pour les clients des hôtels mais nul doute que les entreprises le recommanderont à leurs voyageurs.

3. Comment faire remonter l’information auprès du voyageur ?

Etablir des normes, des chartes, des labels, des certifications, c’est bien, c’est même essentiel. Mais encore faut-il collecter cette information, la trier, l’uniformiser, la rendre intelligible pour les entreprises et leurs voyageurs, et l’intégrer aux outils de réservation. L’idée de CDS Groupe est ainsi de créer un indice Covid-19 à partir des 10 mesures sanitaires considérées comme indispensables, en se fondant sur les recommandations d’Atout France (organisme d’Etat chargé de la classification des hôtels). Puis de vérifier établissement par établissement si ces 10 mesures sont bien respectées. Et enfin créer un logo reconnaissable sur les outils de réservation. Au-delà du rôle des HBT, celui des TMC et des SBT est crucial dans la remontée de l’information.

“Il convient ensuite de sensibiliser le voyageur dans son parcours de réservation, précise Ziad Minkara, en lui envoyant une note au moment de la réservation listant les mesures sanitaires prises par l’hôtel puis en contrôlant après le séjour que ces mesures ont bien été appliquées par l’établissement”.

C’est donc un gros travail qui attend les hôteliers, les intermédiaires et les outils de réservation, on peut estimer que l’ensemble de la chaîne de valeur devrait être fin prête début septembre et même avant pour certains clients (exemple de CDS pour l’APHP via Selectour Vairon Voyages). D’ici là, les entreprises et leurs voyageurs devront sans doute s’armer de patience et, lors de chaque réservation, passer beaucoup de temps au téléphone pour collecter et vérifier l’information.

Au final, selon Stéphane Lormant, le principe pour les entreprises est simple : “que le collaborateur travaille dans ou hors les murs de l’entreprise, les mesures d’hygiène et de sécurité doivent être les mêmes”.

4. A quels tarifs ?

A la question de savoir si les hôteliers vont se livrer une guerre des prix, la réponse est claire :

  • Pour Franck Gervais : « mettre en œuvre des protocoles sanitaires va avoir un coût, et on va faire en sorte que ce coût reste neutre dans nos prestations. On va faire en sorte qu’il n’y ait pas d’augmentation entre 2020 et 2021 ».
  • Pour Vincent Quandalle : « il n’y aura pas de guerre des prix car tous les hôteliers ont des charges, et toutes les mesures que l’on prend ont un coût. On va essayer de ne pas le faire supporter au client et on va certainement rester sur les prix de l’année dernière ».

Stéphane Lormant tempère : « il est possible que les hôteliers indépendants notamment, qui ont besoin de remplir leurs hôtels, déclenchent eux-mêmes, non pas une guerre des prix, mais une tarification plus agressive. En revanche, à long terme, dès lors qu’on demande aux hôteliers d’en faire plus, il serait logique que les tarifs augmentent. D’autant qu’un certain nombre d’hôteliers pourraient ne pas se remettre de la crise, ce qui aboutirait à une réduction de l’offre et donc à une hausse des prix ».

5. Quid des conditions commerciales et d’annulation ?

Pour Franck Gervais, il est évident “que la souplesse et la flexibilité seront au rendez-vous afin d’inciter les voyageurs à revenir. On doit désormais faire face à l’imprévisible”. Quant aux blackout dates et autres périodes de haute saison, elles vont aussi s’assouplir : « on va revoir tout ça car les grands événements vont être remis en cause. On va vivre un étalement de l’offre dans le temps et dans l’espace, avec moins de pics qu’avant. Il va falloir beaucoup plus optimiser les slots des hôtels, faire des choses plus étalées dans le temps. »

Vincent Quandalle reprend en écho : « un tarif flexible sur toutes les dates ? Tous les clients nous le demandent, on n’a quasiment plus de réservation fixe, on ne fait plus de non annulable, les réservations sont désormais transférables. »

6. Quelle stratégie d’achat ?

Le marché est-il en faveur des acheteurs ? Pas vraiment selon Ziad Minkara : « je dirais que les pouvoirs sont équilibrés car l’acheteur s’engage sur un volume, or personne n’est en mesure aujourd’hui de s’engager sur un volume et de dire qu’il va faire plus de volume pour négocier ses prix à la baisse. » Et de poursuivre : « renégocier un programme hôtelier en temps de crise a peu de sens car on ne connait pas les directives tarifaires qui vont se décider en 2020 et 2021. Les acheteurs vont donc repartir sur les bases 2019. »

Avec un bémol pour Stéphane Lormant : « sous la pression de la crise économique à venir, un directeur des achats peut demander à son category manager d’aller négocier où c’est possible, là où il y a des économies à faire et cela sur du court terme. »

« En revanche, reprend Ziad Minkara, ce qui se précise, c’est de maintenir ses accords historiques dans le cadre d’un achat responsable, pour ne pas fragiliser ses partenaires, et de bénéficier le cas échéant de tarifs dynamiques et du yield hôtelier. »

Stéphane Lormant confirme : « Les travel managers et les acheteurs vont chercher à pérenniser les relations avec leurs partenaires. Je crois beaucoup en l’utilisation des tarifs dynamiques et flexibles pour que les hôteliers puissent se servir du yield auprès d’une clientèle qui n’a pas pu négocier des volumes. »

De leur côté, les hôteliers veulent croire à un achat plus responsable comme en témoigne Franck Gervais : « je crois beaucoup au fait que cette crise mette au cœur de nos débats des considérations responsables. Une discussion raisonnable et mature, ce n’est peut-être pas de demander à l’hôtelier de baisser ses prix quand vous savez qu’il est durablement affecté, et avec des postes de coût qui augmentent. » Et de poursuivre : « le critère numéro 1 est devenu la protection individuelle, la santé et la préservation de ses salariés. Les entreprises vont se soucier plus que jamais de la sécurité de leurs voyageurs et se poser la question suivante : quel prix suis-je prêt à mettre pour préserver la santé de mes salariés ? »

7. Faut-il aménager son programme hôtelier ?

Si l’on repart avec ses tarifs négociés avant la crise sanitaire, il convient toutefois de porter une attention particulière sur les tarifs en forme de forfait, comprenant par exemple un petit-déjeuner ou un accès libre à la piscine, au spa ou autre. Si l’hôtel n’est pas en mesure d’assurer ces prestations, il faut évidemment renégocier le tarif.

Par ailleurs, des sondages ont montré la volonté de certains travel managers de profiter de la crise pour réduire le nombre de fournisseurs hôteliers. Une hérésie selon Ziad Minkara : « restreindre encore l’offre me paraît incohérent car certains hôteliers ne vont pas rouvrir et on va se retrouver avec moins d’établissements. » Et de conseiller : « en revanche, chercher des offres alternatives au sein d’une même chaine ou chez les confrères pour éviter à mes voyageurs de prendre les transports en commun me semble opportun. »

8. Le leakage va-t-il baisser ?

A la faveur de cette crise sanitaire, ils sont nombreux à anticiper une réduction du leakage, cette pratique qui consiste à réserver en dehors des canaux de réservation recommandés par l’entreprise et qui concerne une réservation sur deux dans l’hôtellerie. Stéphane Lormant confirme : « Pourquoi on ne veut pas du leakage ? Pour justement contrer ces crises-là. Le leakage pose des problèmes de management des coûts, des process mais le principal problème c’est le duty of care. La baisse du leakage n’est pas une conséquence de la crise mais le moyen d’assurer leur duty of care. Et bien sûr cela aura des répercussions sur le management des coûts et sur une meilleure négociation des programmes hôteliers ».

Pour Ziad Minkara, cela constituera assurément l’un des grands changements post-Covid : « après le risque économique, le risque terroriste, le risque climatique, le risque informatique, la mise en place du risque pandémique nécessite de localiser ses voyageurs. A partir de là, le process va se décliner sur l’ensemble des services, les achats, les RH, le secrétariat général… Et en transverse, le workflow de validation va se renforcer, qui ne sera plus forcément du N+1 mais pourra remonter à la direction générale dans les PME et les ETI et au Comex ou au Codir dans les grands groupes. Donc toutes ces mesures laissent à penser que nous allons avoir une meilleure adoption de la politique voyages dans sa globalité, ainsi que des outils, et donc une baisse du leakage puisque le voyageur doit être localisé en raison de la responsabilité pénale des entreprises. »

François-Xavier Izenic, rédacteur associé de l’AFTM

 

Documents et liens partagés par les intervenants au cours du webinaire :
Guide sanitaire CDS Groupe : “le passeport d’une hôtellerie d’affaires maîtrisée
B&B Hotels : les mesures sanitaires mises en place (vidéoguide PDF), la liste des hôtels ouverts à date.
Accor lance le label de propreté et de prévention ALLSAFE : détails et informations ici

 

Stay by BCD Travel™ : une approche innovante pour réaliser des économies hôtelières

Faire jouer la concurrence, bousculer les offres hôtelières et dépasser les approches trop classiques de la gestion hôtelière. C’est l’idée derrière, la dernière offre de l’agence de voyages d’affaires, conçue pour aider ses clients à réaliser des économies plus importantes en matière d’hébergement. Elle apporte à ses clients des solutions plus dynamiques basées sur les données et encourage les clients à aller plus loin que les techniques de sourcing, en vue d’atteindre leurs objectifs tarifaires.

Stay by BCD Travel™ renforce également la confiance des consommateurs, influence les décisions d’achat, permet de transformer les clients en fidèles défenseurs du programme hôtelier et favorise également leur adoption.

Vous souhaitez en savoir plus ?

Retrouvez nous au stand K162 lors de l’IFTM Top Resa du 1 au 4 Octobre ou visitez notre site : www.bcdtravel.com/fr/hotels

Exclusif : partenariat Dayuse.com et CDS Groupe

Dayuse.com et CDS Groupe ont le plaisir de vous convier

à un petit déjeuner de présentation pour le lancement de leur partenariat !

Mardi 18 septembre de 8H30 à 10H30

à l’Hôtel Lancaster ***** 7 Rue de Berri, Paris 8ème

 

Le leader mondial de la réservation de chambre d’hôtel en journée et le spécialiste des solutions de réservations liés à l’hôtellerie d’affaires vous convient à un petit déjeuner présentation pour le lancement de leur partenariat à l’hôtel Lancaster*****.

Greeley Koch, Directeur exécutif d’ACTE Global, a déclaré récemment « Les voyages d’affaires peuvent être épuisants et stressants. Cependant, faire en sorte que voyageurs et entreprises travaillent main dans la main contribue grandement à maintenir des employés en pleine santé, reposés et productifs (…) ».

C’est dans ce cadre que CDS Groupe et Dayuse.com se sont associés afin d’offrir un bénéfice à la fois pour les voyageurs et leurs entreprises :

  • le day use offrant une solution de confort et de securité aux collaborateurs
  • l’intégration du day use à CDS Groupe permettant aux entreprises de reprendre le contrôle sur cette dépense auparavant non maîtrisée.

Le nombre de place étant limité, nous vous remercions de confirmer votre participation en adressant un email à katia@dayuse.com.

Contacts :
CDS Groupe – Ziad Minkara – Directeur Général – 01 74 71 49 63
Dayuse.com – Katia Handschuh – Responsable partenariats et Corporate Travel – 01 43 29 20 23

A propos de Dayuse.com