? "Business as usual", comment conduire valablement des RFP dans un contexte instable?

JEUDI 17 DÉCEMBRE – 11H

Webinar de l’AFTM

“Business as usual”,

comment conduire valablement des RFP dans un contexte instable ?

La crise sanitaire  a très largement perturbé l’industrie des déplacements professionnels. Mais la vie de l’entreprise ne s’est pas arrêtée pour autant et dans le domaine des achats, il n’est pas question de surseoir à certains appels d’offres. Suivant l’adage « Business as usual », les acheteurs et les travel managers doivent s’atteler à mener ces RFP, au sein d’un marché terriblement perturbé et avec des fournisseurs fragilisés. 

  • Dans ce contexte, comment mener un RFP le plus sereinement possible ?
  • Comment et sur quels critères sélectionner les fournisseurs à auditionner ?
  • Les réponses des fournisseurs seront-elles honorées ?
  • La crise a-t-elle eu des conséquences sur le contenu des appels d’offres ?
  • Quels sont les nouveaux prérequis des acheteurs ?
  • Avec les plans de chômage partiel chez certains fournisseurs, disposent-ils de toutes les forces vives nécessaires à une réponse structurée aux appels d’offres ?

 

Rejoignez-nous le 17 décembre à 11h

Demandez le programme digital de l'AFTM !

Demandez le programme digital de l’AFTM ! 

Jusqu’à la fin de l’année 2020, l’AFTM intensifie son programme événementiel digital afin de permettre à ses membres de continuer à partager, benchmarker et acquérir de nouvelles connaissances autour des thématiques du travel management.

Comme le précise Michel Dieleman dans son édito du mois de juin, les webinaires vont se poursuivre au rythme de 2 par mois. Un nouveau rendez-vous va également voir le jour : les entretiens de l’AFTM. D’une durée de 20 minutes, diffusés sous le format d’un « webinaire live » ouvert à tous, il s’agira de questionner un partenaire ou un expert de l’industrie.

Les adhérents et les partenaires reçoivent une invitation à s’inscrire 15 jours avant le live. Le replay de nos rencontres sont disponibles en cliquant ici.

Rendez-vous très prochainement sur les ondes de l’AFTM !

 

Notre programme est mis à jour très régulièrement. Nous vous alerterons dans la prochaine Lettre de l’AFTM des nouveautés.

TMC : quel modèle pour demain ?

Le débat sur le modèle économique des TMC s’est emballé
avec le développement de la crise sanitaire.

Y a-t-il urgence à repenser le modèle de pricing des TMC ?

Faut-il exiger plus de transparence des TMC ?

Quelles sont aujourd’hui les solutions et les pistes de réflexion envisagées,
à l’exemple du forfait ? Leurs avantages et leurs inconvénients ?

Est-ce l’occasion de reconsidérer plus globalement
les relations entre les TMC et les entreprises ?

Rejoignez-nous :

Le jeudi 1er octobre
de 11h à 12h15

 

Retrouvez les synthèses et les replays des précédents webinaires sur le site de l’AFTM !

Déplacements professionnels autorisés : un casse-tête ?

Déplacements professionnels autorisés :
un casse-tête ?

Des règles et des protocoles sanitaires différents
d’un pays à l’autre, d’un fournisseur à l’autre :

Comment s’y retrouver et comment définir un voyage autorisé ?

Comment interpréter ces informations et les communiquer aux voyageurs ?

Comment les intégrer aux outils de réservation ?

Avec quels processus de validation
et quelles adaptations de la politique voyages ?

 

Rejoignez-nous :

Le mercredi 16 septembre
de 11h à 12h15

 

Retrouvez les synthèses et les replays des précédents webinaires sur le site de l’AFTM !

 

Webinar aérien, "comment gérer la reprise ?" : les 6 points à retenir !

Les webinars de l’AFTM continuent de jouer (presque) à guichets fermés. Plus de 220 participants s’étaient encore donnés rendez-vous le 1er juillet dernier pour aborder la reprise du transport aérien. Quatre intervenants ont répondu aux questions de l’animateur François-Xavier Izenic et des internautes : Patricia Morosini, directrice du voyage d’affaires chez Selectour, Marc Houalla, directeur général adjoint de l’aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle, Manuel Flahaut, directeur des ventes corporate d’Air France, et Samy Gammar, responsable des achats indirects chez Bouygues Construction et membre de la commission développement de l’AFTM.

Quelle reprise des déplacements professionnels ?

Chez Bouygues construction (25 millions d’euros de budget aérien), la reprise est très progressive. Selon Samy Gammar, elle concerne avant tout « le domestique où les collaborateurs peuvent se déplacer sans autorisation de la direction sûreté. En revanche sur l’intercontinental, la reprise est très faible en raison des frontières fermées et des mesures de quarantaine ». Et de prédire : « Globalement pour Bouygues Construction, il faut s’attendre à un recul de 30 à 50% des dépenses aériennes au deuxième semestre par rapport à la même période en 2019. Et il ne faut pas se leurrer, les outils de visioconférence vont réduire les déplacements ».
Des propos confirmés par Patricia Morosini : « On ne peut pas parler de réelle reprise, juste d’une montée ne charge progressive ». Et d’expliquer : « l’accès aux pays européens reste incertain, il règne une confusion liée aux restrictions de déplacement révisables à tout moment, aux tests préalables demandés aux voyageurs, sans compter les quarantaines ».

Quelle reprise du trafic aérien ?

Après avoir opéré 3% de son programme habituel de vols en avril, Air France a remis de la capacité à partir de juin mais la demande est très poussive. « La dernière semaine de juin, on a transporté 25 000 passagers par jour en moyenne contre 150 000 habituellement, révèle Manuel Flahaut. On opère entre 16 et 20% de notre programme habituel et les taux de remplissage sont à 57% en moyenne, soit 30 points de moins que d’habitude au mois de juin. En termes de sièges commercialisables, on tournera autour de 35% des capacités habituelles en juillet et 40% en août ». Il conclut : « la clientèle affaires va mettre plus longtemps à reprendre que la clientèle loisirs ».
Constat identique chez ADP selon Marc Houalla : « à Roissy, nous traitons 30 000 passagers par jour contre 250 000 habituellement à cette période, soit 12% du trafic normal. Le trafic de CDG est tiré essentiellement par le domestique. On est très déçu du trafic Schengen et UE, on pensait qu’après le 15 juin il y aurait une vraie reprise mais force est de constater que le trafic est de seulement 10% de l’habituel. Quant à Orly, on est à 7 à 8 000 passagers par jour, soit 8% du trafic habituel ».
Quid de la rentrée de septembre ? « Sur le domestique, on devrait avoir à la fin de l’été 80% de ce qu’on faisait l’année dernière, 40 à 50% pour le trafic Schengen et UE, quant au grand international, c’est vraiment la boule de cristal ».
Marc Houalla ajoute que les annulations de vols leur posent de sérieux problèmes de gestion : « quand on ausculte nos bases de données, on se rend compte que 40 à 50% des vols ont été annulés au dernier moment ». Un casse-tête également pointé par Patricia Morosini qui, en creux, déplore la non mise à jour systématique des vols dans les systèmes de réservations.

Quels protocoles sanitaires ?

Air France a mis en place un certain nombre de mesures sanitaires : masque obligatoire à l’aéroport et en vol, flux visant à éviter les croisements, embarquement cadencé, service de restauration simplifié (les vols court-courriers en sont désormais privés), et un contrôle systématique de température. Avec une règle de base : un passager qui aurait 38 ou plus se voit refuser l’embarquement et proposer des conditions de report. Manuel Flahaut précise que « cette mesure va être progressivement arrêtée sur le court-courrier et pour les vols de l’espace Schengen, en revanche on compte bien le garder pour les vols long-courriers ».
Dans les Aéroports de Roissy et Orly, le contrôle de température ne se fait pas à l’embarquement mais à l’arrivée via des caméras thermiques. « Si détection d’une température égale ou supérieure à 38, précise Marc Houalla, le passager a la possibilité d’aller se faire tester dans notre centre médical d’urgence. On a eu 17 cas de température avérée, 3 personnes sont allées faire le test du Covid, toutes trois négatives ». Et de conclure : « l’avenir des aéroports, ce sera le sans contact ».

Quel temps d’attente ?

« Les temps unitaires de traitement à l’embarquement ont été multipliés par deux, comptabilise Marc Houalla, ceux concernant les contrôles de sûreté ont augmenté de 50%. Quant au temps unitaire à l’enregistrement, il dépend de chaque compagnie aérienne. Lorsque nous aurons retrouvé un trafic à peu près normal, il faudra prendre garde d’arriver à l’aéroport suffisamment à l’avance ».
Pour Samy Gammar, « ce temps d’attente sera pris sur le temps du collaborateur et non sur le temps de l’entreprise. Mais les voyageurs continueront à voyager en dépit de cet inconvénient ».

A quel prix ?

Pour Manuel Flahaut, « la demande ne suit pas malgré la hausse de capacité, donc les prix baissent, une tendance qui devrait se confirmer à court terme. A moyen terme, je ne vois pas le marché absorber des hausses tarifaires car la clientèle corporate sera forcément impactée par la crise économique qui va suivre ».
La bonne nouvelle est qu’Air France et Amadeus ont fini en dernière minute par trouver un accord afin que les réservations effectuées sur Amadeus via une TMC ne soient pas surchargées de 12 euros. On en saura plus le 10 juillet à ce propos.

Quid des avoirs et des remboursements ?

Ce fut le sujet polémique du confinement. La situation tend à s’améliorer. « Chez Air France, explique Manuel Flahaut, on propose désormais trois possibilités en cas d’annulation : un report sans frais, un remboursement du billet que qu’il soit, ou un avoir majoré jusqu’à 15% du prix du billet initial ».
Concernant les conditions commerciales, « en cas de report volontaire, il n’y a pas de réajustement tarifaire jusqu’à la fin novembre, même si la classe d’origine n’est plus disponible. Ce qui sera le cas après ».
Pour Samy Gammar, « les remboursements ne se passent pas trop mal mais notre priorité est avant tout désormais la reprise des voyages ».
 

François-Xavier Izenic, rédacteur associé de l’AFTM

 

Entretiens de l'AFTM : Frédéric Gossot, Country Manager – Qatar Airways

Un rendez-vous mensuel exclusif en live !

D’une durée de 40 minutes, diffusés sous le format d’un « webinaire live » et ouverts à tous, ces entretiens sont dirigés par François-Xavier Izenic, journaliste et conférencier.

Cet échange doit permettre de poser toutes les questions des membres de l’association et d’apporter des réponses concrètes aux enjeux de l’industrie des déplacements professionnels et de la mobilité.
Le deuxième partenaire à se prêter à cet exercice “exigeant” est Qatar Airways.

25 minutes d’entretien,
15 minutes de Q&R avec les auditeurs !

Frédéric Gossot,
Country Manager France,
Belgium, Netherlands & Luxembourg
Qatar Airways

 

Diplômé de l’École supérieure des sciences économiques et commerciales, il justifie d’une expérience de plus de 25 ans dans le secteur du transport aérien. Après avoir évolué pendant 22 ans au sein du groupe Air France-KLM à la direction commerciale des régions Asie, Afrique et Amériques, il a rejoint Qatar Airways en 2015. Durant 4 ans il a occupé le poste de directeur pour l’Allemagne, l’Autriche et la Suisse, ce qui lui a permis de développer et consolider ces marchés grâce à ses compétences en marketing, e-commerce et stratégie commerciale.

 

Rejoignez-nous :

Le mercredi 8 juillet
de 11h à 11h40


 

Retrouvez les synthèses et les replays des précédents webinaires sur le site de l’AFTM !

 

Aérien, comment gérer la reprise ?

Les frontières s’ouvrent à nouveau, mais pouvons-nous vraiment parler  d’une reprise du transport aérien ?

Avec quel trafic ?
Avec quelles contraintes sanitaires à bord et dans les aéroports ?

À quel prix ?
Avoirs et remboursement : où en sommes-nous ?

Comment adapter son programme aérien
et sa politique voyage à la nouvelle donne ?

Rejoignez-nous :

Le mercredi 1er juillet
de 11h à 12h15

Webinaire mobilités urbaines : les 5 points à retenir !

Les webinaires de l’AFTM continuent de séduire et font le plein ! Le 10 juin dernier, la 4e édition a porté sur les mobilités urbaines. Quatre intervenants ont répondu aux questions de l’animateur François-Xavier Izenic et des internautes : Sandra Lévy, acheteur chef de groupe chez METRO, Arnaud de Lamezan, directeur des achats et de l’immobilier chez Lagardère, Jean-Philippe Doyen, président de Sixt France et Benjamin Giovanni, head of account management chez Kapten.

1. Quelle activité aujourd’hui ?

Pendant le confinement les loueurs de voitures ont subi une baisse d’activité de 95% avec des coûts de flotte qui ont continué de courir. Aujourd’hui, le recul d’activité se situe entre moins 65 et moins 70% par rapport à la même période l’année dernière. Jean-Philippe Doyen a précisé que les loueurs ont dû réduire drastiquement leur flotte afin d’adapter leurs coûts et affecter leurs voitures dans les centres villes car c’est là qu’est la demande.

Du côté des VTC, la baisse d’activité est de moins 50% par rapport à la même période l’année dernière. Benjamin Giovanni a cité une enquête interne réalisée auprès de 1600 clients dont 86% pensent que leur usage des VTC sera dans les mois qui viennent identique voire supérieur à ce qu’il était auparavant car « c’est une alternative plus sécurisée que les transports en commun ».

2. Quelles mesures sanitaires ?

Pour Sixt : mesures de distanciation sociale dans les agences, marquage au sol, collaborateurs équipés de masques et de gel, parois transparentes, digitalisation intégrale du process, désinfection systématique des clés, renforcement des mesures de nettoyage des véhicules…

Pour Kapten : port du masque obligatoire pour le chauffeur et les passagers, vitre de protection entre le chauffeur et le passager (80% de la flotte en est équipée et 100% d’ici à quelques semaines), nettoyage du véhicule après chaque passage…

3. Des entreprises rassurées ?

Pour Sandra Lévy, « on est obligé de faire confiance aux prestataires. L’important est de mettre ne place des actions de communication pour faire connaître ces mesures et montrer que l’entreprise s’engage dans la protection des collaborateurs ». Et d’ajouter que désormais, l’hygiène et les protocoles sanitaires vont devenir des points clés des appels d’offres.

Arnaud de Lamezan a quant à lui le sentiment que les différents acteurs des déplacements professionnels ont globalement bien pris la mesure du défi sanitaire. Il fait toutefois la différence entre les acteurs connus qui ont communiqué sur leurs mesures d’hygiène et les autres. Pour lui, les travel managers et les acheteurs se dirigeront naturellement vers les premiers. Et d’affirmer que la limitation des déplacements dans les mois à venir sera le fait de contraintes managériales et économiques et non de la crainte des collaborateurs à voyager.

4. A quels prix ?

Pour la location de voitures, Jean-Philippe Doyen anticipe une correction des prix à la hausse car  “les loueurs vont donc devoir amortir leurs coûts fixes sur un nombre moindre de déplacements”.

Il plaide toutefois pour un travail en commun avec les TM et les acheteurs : « il faut réfléchir à rendre le déplacement plus intelligent au niveau économique, tenir compte de l’intégralité du coût sur la journée et s’interroger sur le bon mode déplacement adapté au besoin du moment ».

Et de citer en exemple : « à quoi cela sert de se battre pour un ou deux euros quand on sait qu’on va faire des économies sur le coût du carburant ou du stationnement si on loue un véhicule électrique ou hybride ? »

Arnaud de Lamezan le rejoint et implore ses homologues acheteurs et travel managers : « ne tirez pas sur l’ambulance, vous risquerez de le payer très cher demain ! » Il pointe « les profiteurs qui à court terme vont pousser leurs fournisseurs à la faute, à la réduction des coûts, tuant ainsi un certain nombre d’acteurs, provoquant la concentration de certaines activités, et donc favorisant la hausse des prix et peut-être plus haut que si on avait laissé vivre ceux qui créent la concurrence ». Il ajoute que « la grandeur des TM et des acheteurs sera leur capacité d’expliquer à leur hiérarchie la situation et l’intérêt bien compris des parties ». Et de conclure : on met en avant la RSE, on est en train de définir la raison d’être des entreprises, de parler de respect des parties prenantes, il va donc falloir qu’on soit cohérent avec les discours ».

Si Sandra Lévy acquiesce, elle nuance toutefois : « beaucoup d’entreprises sortent rincées par la crise et on va avoir besoin de manager au mieux nos coûts. » Pour elle, la solution est dans l’alternative : « on a désormais plus intérêt à multiplier les solutions de mobilité, à mixer toutes ces formes de mobilité plutôt que d’avoir une solution unique, et d’analyser tous ces coûts. Quand je regarde mes coûts de mobilité, je vois plusieurs millions d’euros mobilisés par la flotte de véhicule. Pourquoi ne pas repenser l’utilité d’un véhicule de fonction quand on sait que certains collaborateurs laissent ce véhicule dormir 90% du temps sur un parking ? »

De son côté, Benjamin Giovanni n’anticipe pas d’augmentation des prix des VTC « car on a beaucoup de chauffeurs connectés par rapport à la demande ».

5. Un tournant pour les mobilités urbaines ?

Pour Sandra Lévy, la crise sanitaire doit être un catalyseur du changement. Elle compte bien profiter de la récente loi LOM (Orientation des Mobilités) et du nouveau forfait mobilités : « on veut repenser le déplacement en alliant RSE et partage, RSE et innovation avec un patchwork de solutions que nos collaborateurs pourraient choisir. C’est aussi important pour attirer de nouveaux collaborateurs et pour les fidéliser. Sous quelle forme ? Je ne sais pas encore mais on est en train de se pencher par exemple sur le vélo de fonction ou la trottinette de fonction ».

Arnaud de Lamezan insiste lui de son côté sur l’hybridation des véhicules de fonction. Il explique « travailler avec les RH pour que les collaborateurs qui peuvent recharger les véhicules de fonction hybrides chez eux puissent bénéficier d’une indemnité forfaitaire mensuelle, de cette manière les trajets pendulaires pourraient se faire totalement électriquement ».

Pour Benjamin Giovanni, « on parle de plateforme MaaS (mobility as a service) depuis plusieurs années mais la crise accélère le besoin. Les priorités ont changé avec le duty of care. Plus que jamais l’intermodalité va répondre aux besoins des collaborateurs. Ils veulent se sentir libres du moyen de transport qu’ils vont utiliser selon l’heure, la météo, l’impact environnemental et bien d’autres paramètres. On va donc imbriquer toutes nos applications de mobilités en une seule mobilité et la mettre bientôt à disposition du marché français ».

Jean-Philippe Doyen confirme également ce « fort besoin d’innovation, chez les prestataires comme chez les TM et les acheteurs. » Et d’ajouter : “on va en effet vers plus d’intermodalité mais pas seulement, une mobilité différenciée selon l’usage. Je crois qu’on va trouver des solutions plus intelligentes d’un point de vue RSE, durable et économique, en utilisant le bon mode de déplacement au bon moment ».

François-Xavier Izenic, rédacteur associé de l’AFTM

Mobilités urbaines : le « vélotaf » pour tous ?

Déplacements professionnels :
le « vélotaf » pour tous ?

Comment les mobilités urbaines (VTC, taxis, location de voitures…) s’adaptent-elles à l’épreuve du déconfinement ?

Comment se déplacer en toute sécurité,
en respectant les règles de distanciation sociale
et en perdant le moins de temps possible ?
À quel prix ?

Quid de l’intermodalité ?
Est-ce le grand retour du véhicule personnel et individuel au détriment de toutes les autres mobilités et notamment des transports collectifs ?

Rejoignez-nous :

Le mercredi 10 juin
de 11h à 12h15

Hôtellerie d’affaires : comment gérer l’après-confinement ?

Après le 11 mai, la façon dont la reprise s’organise dans les hôtels interroge les travel managers et les acheteurs.

 

Quels seront les protocoles sanitaires ?
Avec quelle politique tarifaire ?
Que deviennent les tarifs négociés avant la crise ?
Comment adapter son programme hôtelier et sa politique voyages à la nouvelle donne ?
Est-ce une opportunité de réduire son leakage hôtelier ?

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Le mercredi 20 mai
de 11h à 12h15